C'était comme une surprise bien méritée après Noël, une neige pure et blanche qui recouvraient le sol d'un doux duvet. Ceux qui n'en avait jamais vu la regardait tomber la bouche entre-ouverte, les autres s'équipaient déjà de gants et de bonnets avant de sortir, des étoiles dans les yeux.
La neige qui tombait, c'était un des rares moments où les enfants de Prisme pouvaient se sentir vraiment enfants, où leurs mains saisissaient quelques boules et se les lançaient. Oh, il n'y avait pas d'équipes, juste des enfants qui jouaient entre eux, on pouvait entendre les cris et les rires du bureau de Mrs M. et c'était toléré, le seul moment où ils pouvaient laisser évacuer la pression intense des cours et du classement.
Il y en avait bien sûr qui se retrouvaient coincés entre deux feux, qui ne voulaient pas être là et qui, à l'origine, se promenaient juste dans le parc, pour être tranquille. « Pas de chance », dira-t-on. Mauvais endroit, mauvais moment, il suffisait de peu pour sentir une épaisse boule de neige s'écraser sur sa tête (pour peu qu'elle n'ait pas de caillou à l'intérieur).
Cette neige avait commencé à tomber cette nuit, et cinq bons centimètres s'étaient entassés sur le sol. Il faisait froid, les pieds s'enfonçaient légèrement dans un agréable bruit de crissement, l'orphelinat semblait être perdu et enfermé dans une bulle bien confortable.
HJ : pas d'équipe, vous pouvez canarder qui vous voulez ou vous trouver là de manière fortuite. N'oubliez pas qu'il fait au moins 0° C pour qu'il neige, n'oubliez pas de vous équiper ou gare au rhume dans vos prochains rps !
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Mar 29 Déc - 2:03
De la neige en rouge.
C’est pas tant que le bouquin en soi l’intéresse particulièrement, mais Crow couve cette rage qui lui retourne les lèvres et le fait gronder avec les yeux : il est un animal qui traque, et qui a reniflé l’odeur du sang.
Volume III du putain de traité sur l’Amazonie et ses techniques et développements d’arboriculture fruitière ne s’avère pas un sujet passionnant. Pas pour Crow. Pas pour Crow qui a les mains rougies d’avoir trop appuyé contre les murs gelés, pour ne pas se casser la gueule dans les escaliers givrés. Il fait froid, il fait neigeux, au moins -4C, et le visage blafard, Crow a dans les yeux une haine avec lequel il veut baptiser certains pensionnaires. Il s’agit de retrouver le bouquin de putain de Garcià. Aux dernières nouvelles, Thorn a été le premier de sa liste à être en sa possession. Bouquin localisé, enregistré, par son emprunt noté dans les services de la bibliothèque. Emprunté, trois semaines auparavant, puis reporté. Puis emprunté par le trop connu, trop considéré Knight et sa folle de girlfriend. Baisable, se murmure Crow. Baisable. Pendant un instant, rien qu’un instant, ses pensées se concentrent sur Maelstrom et ses mèches trop brunes, ses expressions trop électriques.
Pendant un instant, Crow oublie presque de s’énerver. Mais le nom de Garcià revient lui matraquer le cerveau, et en longeant l’aile ouest du territoire enneigé, Crow recommence à s’impatienter. Après Knight, il a perdu de vu le bouquin. Pas réenregistré dans le servide de distribution et d’emprunt de l’école. Perdu quelque part, en passation libre dans l’école. Et normalement, il devrait s’en foutre, normalement Crow devrait n’en avoir rien à brnaler, et certainement pas perdre son temps ni son énergie sur un putain de bouquin.
Mais la dernière personne à avoir emprunté le livre en question, avant le dénommé Thorn, est un certain A. Un A avec lequel Crow incurve ses idées, en capitale, dans le grand plan de ses initiatives recherchées. Ce n’est pas que Crow ait quoique ce soit à foutre du bouquin, c’est pourquoi est-ce que A l’a lu qui l’intéresse.
Il y a de la neige, partout, et Crow s’immobilise devant le tas de gamin qui vient de commencer, joyeusement, anti-climatiquement, une bataille de boule de neige.
« Hey, Cherry. »
Le gamin, interpellé, est en première année, facilement impressionné, et Crow se penche sur lui avec un sourire de prédateur. Il a de la suite dans les idées, il a l’ambition du désespoir. Crow est con, Crow refuse de s’avouer vaincu. Il est ce genre de personne, de ceux qui s’accrochent alors qu’ils devraient laisser tomber. De ceux qui s’accrochent et qui sont persuadés si fort qu’ils vont tomber qu’ils finissent, éventuellement, par gagner. Crow est un acharné.
« Cinquante livres sterling pour toi et chacun de tes potes si vous croisez et parvenez à viser Thorn, Billy, Soup, Knight, Hedgehog, Number, George, Muninn, Orque, Ruby, Angst, Castor, Firefly, et Five. J’veux que vous les massacriez. Capiche ? »
La liste est péremptoire, ses supects épinglés entre ses synapses. Les gamins sourient, avec les quenottes exhibées, et Crow remue entre leur doigts un billet qui sert de promesse. Regarde-moi, Mercury, regarde-moi jouer avec ces informations que tu veux, et que je veux, et que je vais trouver avant toi.
« Vous avez retenu la liste ? Trouvez-les moi, bombardez les, et Santa Claus sera sympa et déposera des trucs sous vos oreillers. Le faites pas… »
Il murmure, il murmure sans sourire. Il murmure, avec ses prunelles étrécies et son souffle rauque.
« Et je vous assure que le classement risque de se modifier drastiquement pour vous, ok ? Je connais vos noms. Je connais vos faces. Je connais vos dossiers. »
Ce n’est pas vrai, mais ça a le mérite de les faire trembler, suffisamment pour qu’ils aient envie de coopérer. D’acquiescement, avec avisement, sous les yeux trop tempêtueux, trop rageux du corbeau. Parce que c’est ce qu’il y a de plus facile à faire, c’est ce qu’il y a de plus prudent, et que Cherry, le chef de bande de cette dizaine de gamins, est un enfant trop ravi d’être prompt à la violence, surtout si elle implique de la neige dans la gueule. Il sourit, il accepte, et comme une bête à multiples têtes, la horde rugit, la horde s’élance. Ils ont dix ans, trop d’énergie et chiens de chasse excités, ils se mettent tous en tête de trouver le plus de cible disponibles. Et Crow de les regarder, ces gamins, -sa nouvelle armée-, s’élancer furieusement, joyeusement, braillant et gueulant. Dans quelques instants, ils vont s’abattre avec des boules de neige et des rires à en pleurer, et c’est exactement ce qu’il a besoin. Un moment de distraction, pour aller fouiller les casiers. Il a besoin que tout le monde soit rassemblé au même endroit. En les laissant submerger les autres pensionnaires, Crow s’écarte, Crow s’éloigne, retourne traquer A.
HRP : Du coup, j’ai essayé d’intégrer tout le monde (si j'ai oublié quelqu'un, frappez moi*), considérez qu’il y a une armée de gamin de dix à onze ans qui se jettent en braillant sur vous, si vous êtes intéressé. Je pars du principe que ce sont des gosses, pnjs, et qu’ils sont hyper enthousiastes à l’idée de défoncer des plus grands, et d’être *payés pour ça*.
Sinon, faites juste ignorer mon post 8D je considérerai que les gamins se sont désintéressés.
*je sais que tout le monde ne va pas participer à l'event, je voulais juste laisser la possibilité à ceux qui le veulent.
Ses pas faisaient un agréable bruit en faisant crisser la neige, Thorn se surprit même à sourire. Il voulait rejoindre Hume un peu vers l'extérieur du parc pour construire leur igloo, il le lui avait promis, et lorsqu'on promettait quelque chose à Hume, on devait s'y tenir au risque de se faire défoncer la figure. Thorn n'était pas un perdant, loin de là, mais il était au moins homme à honorer ses promesses.
Le rouquin était sorti vêtu d'un épais anorak, d'un bonnet duquel il laissait couler ses longs cheveux roux, même s'il aurait facilement pu les ranger à l'intérieur. C'était comme un signe de reconnaissance, pour qu'on le laisse tranquille, pour qu'on lui fiche la paix pendant la traversée du parc. Il avait prévu les moufles et une grosse écharpe de laine qui lui barrait la quasi totalité du visage et même s'il avait bien trop chaud à présent, même si tout cet équipement pouvait lui semblait superflu, il savait que lorsqu'il empilerait les blocs de glace, ce serait tout autre chose.
Thorn était sur le point de quitter la partie fréquentée du parc lorsqu'une boule de neige s'écrasa sur l'arrière de son crâne. Il resta quelques secondes immobile, trop incrédule par rapport au fait qu'on avait osé lui balancer une boule de neige dans la gueule. Dans son dos en plus. Thorn rougit, puis blanchit à cause du froid, comme une sensation glaciale qui passa de sa tête jusqu'à ses doigts. Lorsqu'il se prit la deuxième, puis la troisième, qu'elles furent suivies de rires en chaîne, il comprit qu'il était la cible de petits merdeux.
Le 4e au classement se retourna précipitamment et commença à faire de grandes enjambées vers les mômes pour en choper un par l'écharpe et lui foutre la gueule dans la neige.
« Tu crois que c'est bon, hein ? Ça t'amuse, p'tit con ? », gueula-t-il, se prenant d'autres boules de neige dont il n'avait rien à faire en même temps.
Le gosse commença à se débattre et pleurer en lui disant qu'on lui avait demandé de faire ça. Il le secoua, furieux. « QUI ??? »
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Mar 29 Déc - 23:31
Cette nuit, les nuages pleurèrent, la froideur de l’hiver rencontra ces larmes tombées du ciel et de cette union naquit de la neige. Levée comme à son habitude aux aurores, Hume admira ce spectacle, “je retrouve enfin un peu de mon chez-moi”, pensa-t-elle. Comme personne ne dormait à ses côtés, rien ne l’empêcha d’ouvrir grand sa fenêtre et respirer une bonne bouffée d’air frais. Certes, avant de profiter de quoi que ce soit, la matinée de cours, quelques obligations comme laisser un mot dans le casier de Thorn, à défaut de posséder un téléphone. Un téléphone serait plus utile à l’avenir quand même.
Une fois tout cela passé -que le temps fut long et capricieux aujourd’hui-, le parc lui ouvrit grand ses bras. Surtout, pendant l’heure du déjeuner, personne n’était assez fou pour sortir par ce temps, personne sauf la sauvage de service. Sa tenue d’hiver, une fourrure d’albâtre, une longue tunique bleue avec un collant de laine et ses drôles de chaussures, n’avait rien à envier aux créations des grands-maîtres couturiers. Enfin de son point de vue, d’un point de vue objectif, la coupe et les motifs ne collaient pas à la mode du moment. Afin de compléter son look, une paire de moufles pour se protéger les mains, un bandeau pour protéger son front.
Donc, elle s’attelait le plus sérieusement du monde à la tâche, tout en attendant son pote, il devait venir et respectait toujours sa parole. Avec son petit couteau de poche, tailler les morceaux de glace ne se révélait pas une tâche trop ingrate. Puis une voix familière brisa le silence, une voix un peu trop familière, “Thorn ?” , rapidement la petite tendit l’oreille. Thorn, oui, qui hurlait, rien de bien original, mais cela l’inquiéta. Hume n’avouera jamais s’inquiéter pour le volcan sur patte, pourtant son regard se durcit et sans attendre se dirigea vers le boucan.
Le garçon maltraitait un congénère bien plus jeune, mais les traces de neige sur son écharpe mirent la puce à l’oreille de son amie. Quand un énième projectile atterrit au sommet de la tête du roux, l’élève vit rouge, immédiatement. Sans attendre, elle s’approcha d’eux et poussa le plus âgé pour prendre la relève. Sans faire attention aux pleurnichards, Hume l’empoigna au col et le souleva de sorte à ce que ses pieds ne touchent plus le sol.
“À ton âge, te faire acheter de la sorte, c’est pitoyable, tu mérites même pas d’être ici petite m*rde. Je me fous de celui ou celle qui t’a donné le fric, tu vas de ce pas nous le décrire pour qu’on le retrouve.”
Elle le lâcha et hurla aux autres :
“Vous touchez encore à un des cheveux de Thorn et je m’occupe de vous tous personnellement.”
Sauf qu’un gamin, peut-être plus idiot que les autres lui jeta une boule-de-neige, en pleine poire, sans tenir compte de ses menaces pourtant très sérieuses. Ni une, ni deux, elle fit un signe à son collègue -un signe qu’eux seuls comprenaient-, puis se jeta sur un autre gosse un peu plus loin. À califourchon sur le pauvre petit corps elle prenait de la neige et remplissait sa bouche. La bataille commençait à peine.
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Mer 30 Déc - 14:07
Bataille de boule de neigeEvent
Le froid envahissant sa chaire et faisant légèrement rougir le bout de son nez, le crissement de la neige sous ses pieds résonnant doucement et son souffle se transformant en buée à chacune de ses expirations. Oui, la neige était tombée et le froid avait envahi l’orphelinat, créant un décor digne d’un film de Noël. À la découverte de celui-ci au petit matin, Wave s’était hâtée. Elle avait enfilé un pantalon noir, des bottes blanches et un gros pull, large, chaud et terriblement confortable de la même couleur qui lui tombait mi-cuisse avant de s’aventurer dehors d’un pas vif. Armée pour se protéger du froid, elle avait alors commencé sa ballade, laissant son regard pétillant s’attarder sur le moindre objet recouvert de neige. Enfin, jusqu’à ce que celui-ci ne soit attiré par une certaine agitation. En effet, alors qu’elle traversait le parc tranquillement, elle remarqua un petit groupe d’enfants, âgés de 10 ans et visiblement motivés à embêter deux élèves plus âgés. Elle reconnut d’abord Thorn, un 4ème année, qui ne semblait visiblement pas de bonne humeur. En effet, après avoir reçu une, puis deux et trois boules de neige, il avait attrapé un de ses « agresseurs » pour lui beugler dessus avant d’être rejoint pas une autre élève dont le pseudonyme lui revenait en mémoire : Hume. Une fille assez bien classée mais qui avait visiblement un caractère tout aussi brutal que son camarade car, à son arrivée, elle ne tarda pas à se mettre à crier sur le marmot capturé elle aussi. Si Wave n’avait pas toutes les informations relatives liées à la situation, elle décida tout de même d’intervenir. Ainsi, elle accéléra sa marche pour se rapprocher d’eux le plus vite possible, un sourire apaisant aux lèvres.
- Eh, pas besoin de se montrer aussi durs avec eux, c’est juste de la neige. Ils balancent le nom de leur commanditaire et tout sera réglé. Enfin, si tu enlèves la neige de sa bouche et qu-
Elle n’avait pas terminé sa phrase. Son pied s’était posé sur une plaque de verglas, dissimulée sous la fine couche de neige et la seconde d’après, son corps avait valsé avant de tomber au sol dans une gamelle des plus spectaculaires, accompagnée d’un léger cri. Sur le coup de la honte, elle resta figée, allongée dans la neige. Elle se sentait stupide. Ironique pour un génie. Levant son index vers le plafond, elle signifia.
- Je vais bien, rien de cassé ... !
La jolie blonde avait redressé son buste, observant le groupe, toujours assise dans la neige. La poudre glacée dans les cheveux, elle vint la chasser d’une main avant d’échapper un petit rire gêné et une petite boutade, espérant détendre l'ambiance avec celle-ci.
- Pfiou, je veux pas imaginer ce qu’il me serait arrivé si c’est moi qu’on avait attaqué avec ma maladresse !
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Lun 4 Jan - 5:34
PEP#4 Bataille de boule de neige
-Prend ça ! Rainy !
Ça siffla dans l'air avant de percuter de plein fouet, un jeune garçon à la chevelure grise. La boule éclata en même temps que le rires, et le groupe se mit à doucement chahuter. Assis en cercle sur des cadavres d'anges tracés, un joint qui passait de main en main, Billy en amuseur. L'habitude. L'habituel groupe. Les habituelles conversations. Et le blond tissait ainsi ses relations déjà fondées dans ce groupe de potos sûrs. Il se sentait bien, intouchable, indémontable, ainsi entouré ainsi des futurs grands de ce monde : pas les premiers du classement, mais indubitablement les plus populaires.
De son siège d'or, il n'avait aucun moyen de prévoir le chaos qui s'abattre sur lui à la vitesse du hérisson bleu tricoté sur son gros pull. En quelques-secondes à peine : Une dizaine de gosses accourt et balance en cloche des éclairs blancs. Ses potos pas si sûrs hurlent, fuient, court et Billy... Rient.
À la bonne heure.
Il tapote rapidement sur son téléphone, avant de faire signe à ses camarades. Gamins contre ados. Ça dégénère vite et bientôt c'est une ribambelle de boules qui sont échangés dans un chaos désorganisé. Billy court en riant à gorge déployée. Dans sa folle fuite d'une quinzaine de gamins qui semblait étrangement focalisés sur lui, il bouscule une silhouette familière, libérant son otage.
-Bouges, la belle épine !
Petit dommage collatéal quand on sait que ses pas ignoreront la neige chassée par ses grosses chaussures et qui s'abattra lourdement sur une fille
-Scuse, machine !
Pas le temps pour la bienséance quand des gamins s'archanent sur toi. Heureusement il semble que ces derniers se dispersent sur les cibles croisées et bousculées. Suffisamment pour laisser le temps à Billy de se cacher derrière un buisson et de checker son téléphone :
Rainy a écrit:
Duuuude ! Les gamins ont une liste cheloue avec ton nom dessus. Askip c'est Crow qui l'a faite. On fait q uoi Dude ?
Weird. Il n'est même pas sûr de bien savoir qui est Crow. Billy hausse les épaules. La meilleure défense n'est t'elle pas l'attaque ? Alors tout fier de son idée, il répond à son poto sûr.
Billy a écrit:
Duuuude ! Envoie tous les bros sur lui, je m'occupes des renforts. Fais gaffe à toi, Dude. Que la broforce te protège.
Satisfait, il ricane. Puis réfléchit.Avant d'update son message posté au préalable sur Nowhere... Ouais, Billy se prend pour un influencer. Clairement.
HRP La bataille s'organise donc avec une bande de nombreux gamins visant la liste de Crow +Les dommages collatéraux (sorry wave) 5/6 amis de Billy vise Crow + ceux qui sont intéressés par une place VIP (ça veut pas dire grand chose mais marketing, tmtc) Le message de Billy (2nd post)
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